Archives de catégorie : Activités

Atelier cinéma jeune public, animation journée pocket film

A l’occasion de la journée Pocket film organisé par MDA34 à la salle Rabelais (Montpellier)

nous avons réalisé de courtes fictions, sur fond vert pour montrer la magie du cinéma ; thématique :

Qu’est ce qui peut gâcher un repas ?

Cet atelier était à destination de jeunes âgés de 11 à 21 ans. Plusieurs films courts ont été imaginés, une trame écrite et des dialogues improvisés en fonction des créativités et possibilités des participants.

Ces courts métrages montés dans la foulée ont été diffusés le jour même à la projection lors du festival Pocket Film avec succès !

7 mai projection plein air libre et gratuite!

JEUDI 7 MAI, 21h RENGAINE  de Rachid Djaïdani

banderolle 7 maiLes Ziconofages, adeptes des projections sauvages en plein air de leurs réalisations, passent un cran au dessus avec l’aide du dispositif Passeurs d’images. Jeudi 7 mai à 21h, dans le parc Clémenceau, nous projetterons sur grand écran en qualité cinéma le film Rengaine de Rachid Djaïdani.  En première partie vous découvrirez le film court réalisé  lors du stage de printemps « Manger l’ail-leurs« , venez à l’heure pour discuter avec les jeunes réalisateurs !

118x174 Rengaine

Projection: Ciné garrigues

Partenaire : association Pavé

Action réalisée dans le cadre de Passeurs d’images soutenue par la DRAC LR, DDCS, CAF de l’Hérault, CG34, Ville de Montpellier.

Stage vidéo jeunes – Vacances de Printemps 2015

tournage

5 jours d’ateliers audiovisuel

20-24 avril à la MDA, (9 rue de la république, Montpellier) pour les 11-17 ans. Participation financière  libre.

« Manger l’ail-leurs »
Que mange-t-on dans d’autres cultures ?
Chaque iranien mange une dizaine de kilos d’herbes par an.
Au Vietnam, on mange le riz au petit-déjeuner.
Tout le monde mange mais pas de la même façon. Une assiette contient des éléments de géographie, d’histoire, de culture…
Le sujet porte en soi la ressemblance et la différence. Parler d’une autre culture peut encourager à parler de la sienne.

Traitement:
Les participants au projet auront l’occasion de rencontrer un cuisinier venant d’une autre culture
plus ou moins lointaine. Ils rédigeront une liste de questions abordant ce sujet (ex : les rituels
d’alimentation, les repas de fête, les moyens de se procurer l’alimentation, les méthodes de
préparation, les codes de conduite à table…).
Ils enregistrent la rencontre avec le cuisinier en image et son dans un studio fond vert.
L’extrait sonore de cette rencontre donnera une base pour la création d’un POM (Petit Objet
Multimédia). Ils aurons créer, rechercher des éléments audio et visuels pour agrémenter – habiller
l’extrait sonore.
Chaque jour l’atelier sera enrichi par la découverte des métiers de l’audiovisuel (maquilleur,
monteur, décorateur, preneur de son, chef opérateur…). Ces rencontres se feront autour du repas
de midi avec des professionnels de l’audiovisuel..

Renseignements et inscriptions:  lesziconofages@free.fr ou 07 83 04 76 67

Partenaires: Centre social Alisé, MDA34, Time code, La draille colorée.

Action réalisée dans le cadre de Passeurs d’images soutenue par la DRAC LR, DDCS, CAF de l’Hérault, CG34.

 

STAGES VIDÉO JEUNES Vacances de février 2015

« Si j’étais un Artiste » est le titre de nos prochains ateliers de création audiovisuel. Ce stage conçu et réalisé par Les Ziconofages aura lieu à la MECS de « cœur de l’Hérault » à Clermont – l’Hérault du 9 au 13 février 2015. La MECS (Maison d’Enfants à Caractère Social ) offre ses ateliers aux jeunes de 14 à 19 ans motivés à l’idée d’apprendre et de participer à la découverte de nouveaux médias tels la vidéo comme ils le proposent les Ziconofages. L’inscription repose sur le principe de la libre adhésion, toutefois, tout jeune inscrit s’engage à suivre la session dans son ensemble.

Pourquoi ce thème?

Nous avons tous des rêves d’artistes inspirés par le moment-vécu, le lieu, une chanson, un texte, un film, un spectacle…

Imaginons une villa d’artiste où nous pourrions partager ces rêves. Qu’est- ce que nous aurions à montrer ou à raconter ?Qu’allons-nous montrer de nous-mêmes ?

Des techniques audio visuelles simples peuvent nous aider à réaliser ces rêves et à les partager.

Contenu de l’atelier

– Approche des fondamentaux de l’audiovisuel

– Exercices de théâtre d’improvisation

– Éducation à l’image : jeux de photo langage, analyse d’image, droits à l’image, projections d’extraits vidéo…

– Rencontre et entretien filmé avec un artiste

– Conception et écriture de scénarios

– Réalisation de médias sonores et visuels sur la base d’un scénario : technique de prise d’images et de sons, jeux d’acteur,mise en scène…

– Montage des médias réalisés : initiation au montage et utilisation de trucages simples.

– Création de la pochette DVD ou la générique

fonctionnement

Sur 5 jours de 10h00 à 16h30.

Du Lundi 09 au Vendredi 13 Février 2015

Un accueil convivial sera assuré au local dès 9h30.

Prévoir les pique-niques tirés du sac les lundis, mercredis et vendredis, les autres jours les repas seront assurés par la Maison Cœur d’Hérault.

 

« Un dîner presque pas fait » – un film sur l’aide alimentaire

« Un dîner presque pas fait »

Des membres du Comité consultatif des allocataires du RSA de Montpellier ont travaillé à la conception d’un film avec l’aide de l’association les Ziconofages sur le thème de l’alimentation et notamment sur le rapport des personnes aux associations d’aide alimentaire.

Le film intitulé « Un dîner presque pas fait » d’une durée de 9 minutes est une fiction qui invite à la réflexion quant à l’accueil des allocataires par les bénévoles des associations d’aide alimentaire et à la question du maintien des liens sociaux quand on se nourrit exclusivement de colis alimentaires.

Ce film accompagné par celles et ceux qui l’ont réalisés, doit servir à sensibiliser les bénévoles associatifs et échanger sur les représentations.

Synopsis

Un célibataire qui dispose de peu de revenus doit recevoir des amis et n’a pas d’autres choix que d’aller chercher un colis alimentaire. Il a en mémoire les confessions qu’il doit faire sur sa vie intime, la file d’attente et toujours les mêmes denrées de base. Heureusement il y a les copains…

Note d’intention

Un film pour :
– Interpeller les associations caritatives sur les ajustements nécessaires dans l’accueil et le contenu des colis. La précarité à changer mais les associations caritatives ne se sont pas adaptées.
– Lutter contre les préjugés et les représentations; que les spectateurs puissent se mettre dans la peau du personnage et s’imprègnent d’autres réalités.
– Alerter les pouvoirs publics sur la situation des gens qui ne mangent pas correctement. Comment améliorer les conditions de vie ?
– Parler de l’alimentation, un sujet essentiel qui touche tout le monde. Une question de santé (malbouffe) et de lien social.
– Réveiller les consciences.

Un projet pour :
– Avoir une activité sociale, rencontrer des gens et améliorer l’estime de soi.
– Développer des compétences.
– Participer à une aventure utile.

Contact  diffusion :
Pascal Biston : 06 71 71 65 18

Bande annonce « Un diner presque pas fait »

CONSTATS, RÉFLEXIONS & PROPOSITIONS
« 
Ce n’est pas parce qu’on est ignoré qu’on est ignorant »
Ce document de travail est une synthèse des échanges lors des projections-débats, parce que les films réalisés sont des outils qui doivent servir à (se) questionner, à (nous) faire évoluer et à trouver collectivement des réponses à des situations difficiles alors n’hésitez pas à le télécharger pour en user et en abuser!

Ce film a été réalisé dans le cadre du projet Outils Vidéo participatifs financés par le Conseil Général de l’Hérault, la DDCS (ACSE), la DRAC, la CAF de l’Hérault, la Ville de Montpellier.

Formation action vidéo participative

« EXPÉRIMENTER LA VIDÉO AVEC DES HABITANT-E-S…S’INTERROGER SUR SA POSTURE PROFESSIONNELLE…DÉVELOPPER DES PROJETS INNOVANTS…CRÉER DES DIAGNOSTICS »

Presentation de la formation_2016

Préambule

Pour l’association les Ziconofages, la vidéo participative, c’est réaliser des films avec les habitants\es (on préfère à citoyens\nes). Une expérience collective donc sur un territoire précis. Ce qui nous motive, c’est l’envie de mettre un grain de sable dans les rouages d’idées toutes prêtes sur des invisibles d’ordinaire censurés. Pour cela, il nous faut à chaque fois dévisser nos propres préjugés, aller à la rencontre et sortir notre caméra. Pour que les images et les paroles prennent tout leur sens, il a fallu apprendre, se former, s’approprier un outil aujourd’hui popularisé. La vidéo permet de créer ses propres images, de reconnaître les savoirs de tous-tes, d’inventer des espaces où se rencontrent différentes sphères sociales. Nous menons ces actions depuis 6 ans avec des personnes pas toujours blanches, ni adultes, ni riches, ni instruites, ni sédentaires mais aussi avec celles qui sont tout ça à la fois pour qu’on se regarde, se rencontre, se découvre. Ce travail est reconnu à Montpellier pour sa nécessaire raison sociale et comme action de développement local. On aime co-construire, expérimenter, transmettre, c’est pourquoi aujourd’hui on fabrique une mallette pédagogique qui devrait servir à tout ça et aussi à ce qu’on inventera ensemble au cours de cette formation-action.

La mallette vidéo participative ? La mallette propose de vous donner les moyens en deux étapes, d’imaginer et de réaliser un atelier vidéo participatif à l’aide de :
– une formation-action dont l’objectif général est de favoriser l’ accompagnement d’habitants dans des projets audiovisuels avec une démarche participative.
– matériels de tournage accompagnés d’un livret pédagogique : caméra, micro canon, trépied, vidéo-projecteur, disque dur…

Modalités d’organisation et inscriptions La formation s’adresse à des salariés\es, bénévoles, chômeurs\ses, militants\es, associations, collectivités, coopératives, entreprises…

La formule que nous proposons est celle-ci :
Une formation-action qui se déroule sur 6 jours et en 2 sessions espacées d’un mois :

  • 3,5 jours en internat (hébergement collectif).
  • 2,5 jours en externat.

Nous pouvons adapter cette formule en fonction des réalités de chacun et imaginer ensemble les aménagements possibles pour rester en adéquation avec le principe de la vidéo participative. N’hésitez pas à nous contacter pour en discuter.

 

Tsiganes de Montpellier et du département de l’Hérault

Dans un même DVD retrouvez 4 films Outils vidéos participatifs & en téléchargement libre et nécessaire les constats, pistes de réflexion, propositions issus:
– des films,
– des groupes de paroles avec des habitants et des professionnels,
– des discussions qui suivent les projections privées ou publiques depuis janvier 2012
– des ateliers du forum organisé pendant 3 jours en janvier 2012
– lors de la sortie du dvd le 13 novembre 2012

La bande annonce:

couverture du dvd tsiganes noir
couverture du dvd

«Gitans en HLM» L’exemple de Montpellier et de son agglomération
43’, 2011

Les Tsiganes, appelés Gitans, Manouches ou Cintis dans l’agglomération de Montpellier, sont initialement venus d’Inde et plus récemment d’Espagne. Certains se sont installés depuis plus d’un siècle dans le centre de Montpellier, le long du Lez ou encore dans les plaines. Souvent exclus, souvent pauvres, ils ont progressivement été chassés de ces campements avec le développement de la ville et des villages. Regroupés dans des quartiers provisoires (Cité Chantal, Terrains familiaux de Pignan) ils ont ensuite été déplacés dans des quartiers populaires (Cité Gély, la Paillade) « comme on déplace une ruche ».

Les habitants témoignent de l’intérêt d’être ensemble : solidarité, entraide, réconfort, sécurité, vie de famille, logement… Le film montre que ce que l’on considère comme du regroupement de type « communautaire » est avant tout un regroupement familial, encouragé à la fois par les pouvoirs publics et par la crise économique. Les stratégies sont diverses, et de nombreuses familles revendiquent leur droit de vivre et d’être traitées comme des citoyens à part entière.

bande annonce de Gitans en HLM

Le film « Cash Cache » 43′, 2011

Cash Cache témoigne de deux éléments caractérisant les relations des Français d’origine tsigane envers le travail : trouver un travail au jour le jour, pour gagner sa vie et la nécessité de dissimuler son identité pour exercer un métier.

S’ils travaillent depuis toujours au gré des saisons, de leurs compétences et des opportunités, la crise économique, la disparition des petits métiers, le manque de formation et la sédentarisation bouleversent la donne.

Le chômage touche fortement la minorité gitane, le désoeuvrement des jeunes inquiète les familles, qui ont le sentiment que leurs enfants ne sont pas traités à égalité avec les autres Français. A cela s’ajoute une aspiration grandissante des femmes à avoir une vie active. Aspiration qui doit composer avec une double pression celle de la société quant à l’éducation de leurs enfants et celle de leur communauté qui ne souhaite pas toujours les voir travailler à l’extérieur.

A travers différents témoignages de la communauté recueillis dans l’Hérault, le film montre que la question du travail trop souvent cachée derrière un masque d’ethnicité est avant tout un problème social.

 Le film «Places désignées» 52’,  2012

Ceux qu’on nommait hier, nomades avaient un statut particulier dans l’administration française. Ils sont aujourd’hui gens du voyage toujours soumis à une citoyenneté sous condition. Places désignées revient sur leur histoire pendant la seconde guerre mondiale et sur l’évolution du nomadisme en ce début du XXIe siècle. La rationalisation de l’espace, inhérente à la société sédentaire, a donné lieu à une planification entraînant un encadrement plus stricte des nomades. Le choix est mince pour celles et ceux qui décident de garder leur mode de vie : aire d’accueil permettant de stationner quelques mois ou aire de grand passage pour les déplacements estivaux; quant aux terrains familiaux ils proposeraient une réponse adaptée à la sédentarisation. Les différents témoignages d’ habitants, de chercheuses et d’un élu montrent que la loi Besson qui encadre l’accueil des gens du voyage est insuffisante et ne répond pas à leurs besoins.

Face au durcissement de la réglementation et n’ayant pas assez de lieux où vivre les gens du voyage s’organisent et réinventent des formes de nomadisme que sont les grands passages ou l’acquisition de terrains privés.

Les municipalités se trouvent alors désarmées d’une part face à l’arrivée massive de ces groupes de plus de 100 caravanes et d’autre part face aux contraintes administratives et foncières. D’autant plus que les électeurs locaux sont peu désireux d’accueillir ces habitants de passage qui nourrissent encore aujourd’hui beaucoup de fantasmes.

Loin des représentations la caméra entre dans la réalité de ces camps, de leurs habitants et donne à comprendre une situation complexe et discriminante vécue au quotidien par ces français nomades.

Bande annonce Places désignées:

Extrait:

Le film «Tsiganes à l’école et vice versa…» (23′, 2011)

Dans une première partie, des jeunes et des parents d’origine gitane témoignent de l’importance de lire écrire compter et de suivre une scolarité jusqu’à la fin de l’école primaire.

Au collège les jeunes d’origine tsigane abandonnent les établissements scolaires, et arrêtent leur parcours scolaire, où le poursuivent par correspondance via le CNED.

Face à ce constat, des politiques éducatives avec des dispositifs spéciaux pour ces élèves ont parfois été mis en place comme au collège Fontcarrade sur Montpellier. Familles et enseignants y trouvaient leur compte. Mais ici, c’est un constat d’échec.

Quelles sont les causes de cet échec de l’éducation nationale vis à vis des familles gitanes? C’est ce qu’essayent d’analyser cette troisième partie : le poids de la communauté, le manque de mixité (école ghetto à Figuerolles), l’absentéisme (l’école passe en second plan), parents et enseignants pas tous derrière les enfants, peur et peu d’intérêt pour des apprentissages, éloignement (quartier de Montaubérou)…

Une évolution porteuse d’espoir: de plus en plus d’élèves arrivent en fin de CM2 avec un niveau attendu, les jeunes parents commencent à obtenir des diplômes, et les enfants rêvent de métiers comme tous les autres enfants…

Contact pour plus d’information:

Les Ziconofages 06 71 71 65 18

 

 

« Tomber des murs ? » 50 ans de grands ensembles


Bande annonce du film

  • Synopsis

    « Tomber des murs? », revient sur 50 ans d’histoire d es grands ensembles. A Montpellier, dans les quartiers du Petit Bard et de la Mosson des tours s’écroulent, la mixité sociale s’impose et les murs des barres ont repeints. Ce film est un constat sur les problématiques autour des politiques de rénovations urbaines. Il y a les murs d’immeubles qui tombent en pleine crise du logement et puis ceux qu’il reste à abattre, ceux de l’indifférence et de l’incompréhension. Une population invisible aux yeux des décideurs revendique son mot à dire. 52′ où se croisent les paroles des habitants, chercheurs, acteurs associatifs et politiques.
    > 26 jeunes montpelliérains de 16 à 25 ans ont interviewé et tourné les images de ce film documentaire. Cette action est le fruit d’un travail de 8 mois de l’association d’éducation à l’image les Ziconofages.


« Tomber des murs ? » Interview des réalisatrices par ziconofages

  • Fiche technique

    Genre: documentaire Année: 2008 Durée: 52′ Support: DVD vidéo Langue: Français Pays de production: France Matériel Caméra: Caméra Tri CCD Dates de tournage: Novembre 2007 – Juin 2008 Lieux de tournage: Montpellier, quartiers de la Mosson (Paillade) et du Petit Bard © Les Ziconofages – lesziconofages@gmail.com

  • Réalisation: Association Les Ziconofages Tournage: Turkane Basar, Soumia Seddiki, Soumia Machaallah, Leïla Sabir, Vanessa Adolphe, Gwendoline Baquet, Hanane Boujaj, Kevin Depaule, Yessref Djemina, Sabrina Drihi, Sanaa Hayyani, Mouna Khadraoui, Mélodie Kroemer, Maryline Lefebvre, Sophie Loizel, Réda Mouadine, Eric Muller, Allioun N’Doye, Rachyda Oujebbour, Aurélien Paillie, Anais Razoux, Nadège Rizo, Driss Saël, Nassira Trari, Djemina Yessref, Cynthia Yvernault. Ces jeunes âgés entre 16 et 25 ans habitant Montpellier et les villages alentours, ont été formés à la prise de vue vidéo et à l’interview par Pascal Biston et Christel Lescrainier. Montage: Thierry Brinksma Musique: Hatime Bensfia aka Hendek Réalisé avec le soutien de: Département de l’Hérault, Direction enfance et famille, Fonds d’aide aux jeunes, Caf de Montpellier, l’Acsé, DRDJS Languedoc Roussillon, Centre social CAF de la Paillade, Maison de l’enfance et de la famille

Contact pour plus de renseignement : Pascal Biston, 06 71 71 65 18

Des films sur les rénovations urbaines au Petit Bard

En 2008 le film Tomber des murs ? 50 ans de grands ensembles questionnait les politiques de rénovations urbaines à travers les exemples du Petit Bard et de la Paillade à Montpellier. Depuis nous essayons de maintenir une veille sur la rénovation du quartier Petit Bard.
En mars 2010, suite à plusieurs départs de feu dans un immeuble rue des Trolles, les habitants à bout de nerfs, s’étaient réfugiés à la MPT F.Villon: Le Petit Bard en colère.
Avril 2014 le chantier des rénovations urbaines est maintenant bien engagé.
Notre présence lors de l’implosion de la tour H le 14 avril 2 a permis de recueillir le sentiment des habitants et des chercheurs sur la rénovation du quartier. Le premier film, Regards sur 10 ans de rénovation urbaine au Petit Bard a été monté dans le hall de la Maison pour tous F. Villon. Des habitants de la Tour H  venus participé au montage nous ont alors demandés de venir recueillir leurs paroles sur ce nouvel immeuble ( OPH Hérault Habitat) baptisé Stéphane Hessel. Les nombreuses mal-façons et la manière dont elles sont traitées ne leur conviennent pas et ils ont peur de devoir en porter la responsabilité. C’est le second film, Derrière les murs. Ces films participatifs font parti de notre action Outils vidéos participatifs dont les objectifs sont de :

    • agir de manière préventive en en utilisant la vidéo et l’image comme outils de médiation sociale;
    • permettre « une meilleure intégration des territoires et de leurs habitants dans le fonctionnement de la ville»;
    • améliorer la vie quotidienne des quartiers prioritaires et favoriser l’égalité des chances entre tous les habitants d’une même collectivité.

 

Journée vidéo et projection plein air au Petit Bard

A la demande d’habitants, nous étions présents toute la journée du 31 mai 2014 pour un atelier de vidéo participative avec les habitants de la nouvelle résidence Stéphane Hessel, construite 9 mois plus tôt. Les habitants voulaient témoigner de toutes les malfaçons de cet immeuble juste sorti de terre et qui paraît très chouette vu de l’extérieur…

Montage à la Maison pour tous F.Villon
Montage à la Maison pour tous F.Villon

Tournage : 9h30-13h / Montage :14-17h / Projection des films: 21h sur les rénovations urbaines au Petit Bard à l’occasion de la démolition de la tour H et du film réalisé dans la journée.

Projection le soir avec les habitants
Projection le soir avec les habitants