Nous vous attendons nombreu.x.ses pour notre fête de l’été avec des films, des images, des plats, des desserts, des discussions sur nos actions et de la musique! Sous les étoiles au 67 avenue de Lodève!
Et pensez à adhérer sur place ou mieux par Helloasso!
Concernant nos Outils vidéo participatifs, nous avons eu un très beau reportage de 4′ dans le journal de France 3, le 30 avril!
Le court métrage animé sur les discriminations, en partenariat avec l’association Habiter Enfin Paroles de discrimination ordinaire est terminé, le voici.
Nous participons mercredi 15 mai à 9h30, dans le cadre de la « semaine du « Vivre Ensemble » au centre social Caf l’ile aux familles au Café Discri co-organisé avec l’associationHabiter Enfin. et nous animons un nouvel atelier de réalisation de séquence animée en papier découpé illustrant une phrase de discrimination à 10h30.
Les projections du film des âmes et des ombres continuent avec une équipe pour accompagner les diffusions très motivées. Après le Siao, Luttopia, la veille sociale, nous irons présenter le film dans différents lieux d’accueil de personnes en grande précarité : à Corus, à l’Avitarelle (Acala) le 4 juin à 16h30 , à la Halte solidarité le 13 juin à 10h, au CHRS Loustal, le 25 juin à 17h. C’est possible de venir sur ces projections à conditions de nous contacter. Nous ferons aussi des projections publiques. Les projections publiques sans réservations sont à la Carmagnole, le 21 mai et sans doute à notre AG, le 3 juillet. N’hésitez pas à nous appeler si vous souhaitez en accueillir une.
Les inscritions sont ouvertes pour nos stages jeunes de juillet et d’aôut. Ils ont lieu sur une semaine, en demi journée, quelquefois complété par une journée complète.
Pour plus de renseignements et pour s’inscrire : nous contacter par mail lesziconofages@gmail.com ou par téléphone (0619260656) pour recevoir la fiche d’inscription.
L’inscription est à prix libre. Chacun donne ce qu’il peut et veut.
La priorité est donnée aux familles en situation de précarité et ou habitant dans les quartiers populairesQPV. Mais les actions sont ouvertes à toutes et tous.
Les inscriptions sont aussi ouvertes pour nos 3 week-ends vidéo en famille dans la nature et à la rencontre d’artistes sur les différents festivals. Enfants et parents apprennent à faire un film, voient des spectacles et rencontrent les artistes, se baladent dans la nature, cuisinent, et dorment en bungalows. Nous avons 2 minbus pour le transport.
Nos week-end Reves d’ici et d’ailleurs permettent à des familles issues de quartiers populaires et/ou en situation de précarité, de rencontrer des artistes le temps d’un week-end, de partager son quotidien de s’initiant à la vidéo et en participant à des spectacles ou des ateliers artistiques.
Le week-end danse « bal du tout monde » au lac du Salagou, en mai, a beaucoup plu aux participant.e.s. C’est pourquoi c’est une artiste chorégraphe Laurie Sautedé qui a animé le volet danse du week-end de clôture 2023 les 2 et 3 décembre.
Voici plusieurs courts-métrages, clips, réalisés lors du week-end Rêves de Décembre avec des participant.e.s à tour de rôle sur le tapis de danse et derrière la caméra ou le micro. Merci la chorégraphe Laurie Sautedé d’avoir osé co-imaginé une action mélant ans et vidéo. Un beau défi réussi ! A la chorégraphie, nous avons ajouté des murmures où les voix off racontent des histoires imaginées. Nous avons aussi ajouté des éléments perturbateurs, pour sortir du simple clip dansé dans le Murmure 3 et Libre arbitre.
Nous travaillons avec des personnes sans-abris et des associations d’entraide tous leslundis matins de 10h00 à 12h30 à la maison Campredon à Montpellier. Nous réalisons un film, outil de sensibilisation sur les personnes sans-abris. Nous suivrons le quotidien de 5 personnes à la rue, de leur occuptions à leur préoccupation, de leur regard sur la rue et sur la société. En partenariat avec le Siao, la Cloche, le Samu social, la Bulle douche Nomade, le Secours Catholoique, Luttopia, ATD quart monde, entraide Sdf)
Paroles de discriminations ordinaires avec l’association Habiter Enfin! et son «Café discri»
L’équipe de Habiter enfin! organise depuis plusieurs années un café discrimination au Centre social Caf, l’ile aux familles dans le quartier de La Mosson. Une fois par mois, le public du centre social est accueilli par un(e) médiateur(trice) qui propose un thé ou un café ainsi qu’une place sur une banquette.Sur le lieu, des guirlandes de petites phrases retranscrites sur des papiers attire le regard. En lisant, certains mots font écho et les échanges commencent autour du sentiment de discrimination. L’équipe prend note, bien-sûr avec l’accord des personnes, de toutes les nouvelles phrases ou réflexions échangées. Depuis 2 ans, ce sont maintenant des dizaines de témoignages qui sont compilés et qui feront toute la force du film pressenti.
A partir de toutes ces paroles récoltées, nous proposons aux participants une lecture à voix haute des phrases qui leur parlent, de réagir sur ce choix puis de travailler l’intention, le ton, le sens, l’intensité… Puis tous ces sons sont enregistrés et font une trame de travail pour fabriquer les images.
Un travail sur l’illustration visuelle sera alors imaginé ensemble: Animation en papiers découpés, en photos ou animation d’objets en volume, la technique sera choisie par le groupe. Ces techniques d’animation ont été choisies pour apporter une forme de poésie sur des phrases à connotation souvent brutale, violente, désespérante. Le traitement de l’image pourra nous permettre d’« échapper» au réel et de désamorcer ou atténuer l’impact émotionnel des mots.
Après une rapide formation à la caméra, les prises de vue seront «mise en boite» et l’ensemble, sons+ images, assemblé lors du montage.
L’exposition est ouverte jusqu’au 30 janvier, c’est derrière la gare 27 rue Frédéric Peyson. du mercredi au vendredi 15-19h et les premiers dimanches du mois.
Vous pourrez voir différents plans et descriptions de lieux intercalaires et voir nos films réalisés sur ces lieux là. Ils passent en boucle FONCEZ !!! ET PARTAGEZ!!!
Le stage Filmer et imaginer un espace publics’est déroulé en partenariat avec un concepteur paysagiste – Marc Henry- et le Centre d’Architecture d’Urbanisme et Environnement de Montpellier dans le quartier des Arceaux.
Comme terrain d’étude les jeunes ont exploré la place Max Rouquette et ses abords. Ils ont mené une enquête vidéo en collectant des témoignages sur les usages et les ressentis d’habitants ou de passants. Pour réfléchir aux aménagements et à la transformation de cette place, Marc Henry a co-animé ce stage et a partagé toutes ses compétences professionnelles pour enquêter et mettre en visuel les idées d’aménagements proposées par les jeunes.
Les stagiaires ont pu s’initier à la vidéo, à la technique de l’interview, découvrir les techniques et les codes de la conception paysagère et s’initier au montage. Une semaine riche en expériences et en découvertes!
Août
le stage Street Art et Vidéos’est déroulé en partenariat avec Parcelle473, musée d’art urbain et contemporain à Malbosc. A travers des documentaires et les œuvres découvertes au musée, ils ont pu découvrir les différentes méthodes artistiques. Ils ont pu s’initier au graff lors d’un atelier pratique proposé par Parcelle473 et s’initier à l’animation stop-motion à la façon du street artiste Invanders.
Nous avons constaté une réelle progression dans la réalisation vidéo chez plusieurs participants qui s’inscrivent à nos stages depuis plusieurs années. Ce qui explique la qualité des images. Deux de nos jeunes sont depuis septembre en option cinéma au lycée Jean Monnet. C’est une belle fierté : la relève des Ziconofages est assurée !
Le thème « Folie, folies » théâtre et vidéo à la Maison pour Tous Léo Lagrange (Quartier Mosson)
Première semaine des vacances d’automne: 5 jours en journée complète avec repas tiré du sac.
L’objectif est de réaliser un film avec des improvisations théâtrales dirigées par une comédienne et des accessoires choisis à la Costumotek de la Mosson, une vraie caverne d’Ali Baba!
Nos décors seront les folies de Montpellier,ces bâtiments et châteaux, anciens et contemporains.
Nombre de places: 14 jeunes de 10 à 17 ans.
Particpation libre : je donne ce que je peux en focntion de mes ressources.
7 familles et 23 personnes au total ont participé à nos deux week-ends nature!
Voici les deux films:
Bilan participants Le spectacle : C’était bien. On a bien tout compris parce que Marie (l’artiste de la compagnie) et le DJ nous avaient bien expliqués avant, ça nous a fait voyager toutes ces danses et la musique. Il y avait des battles de danses mais pas dans la rue, dans la nature. J’ai dansé avec des gens que je connaissais pas… Le lieu : On veut habiter là , on se sent en vacances, on voudrait rester toute la semaine, tout le temps dehors. Le père de famille « son rêve c’est d’avoir un camping-car (comme celui des Allemands là-bas) pour faire le tour de l’Afrique. » Une maman « le lac du Salagou c’est pas loin, mais souvent on n’a pas l’idée, on reviendra » Les ados « on est bien là, loin du béton, loin des murs, on respire. Franchement j’aurais pas pensé dansé avec une vraie danseuse » Les petites « on peur ramener nos sauterelles ? On a bien «espionné »(observé) les gens dans le camping. On est libre d’aller partout. » Bon retour sur la rencontre, le spectacle, le lieu et la nature. Les copines ne voulaient plus se quitter. Les adultes étaient plus calmes. Les corps avaient bougé, les têtes s’éaient vidés « ça fait du bien ! »
Bilan au niveau de l’organisation Zico Bonne entente générale, l’entretien avec les artistes avant le spectacle a ée un vrai moment de partage et d’écoute mutuelle. Le spectacle de danse en mode bal a permis a chacun de participer. Les enfants ont apprécié d’être tout le temps dehors, en pleine nature. Les adultes se sont libérés un peu de leurs tracas. Etre un petit groupe – une dizaine – a permis d’avoir moins de stress et de se parler plus ouvertement. Le fait d’avoir de l’espace avec 2 grands bungalows avec terrasse et la nature autour a vraiment été un gros facteur de détente pour les familles.
A Sauve, lagrande diversité d’âge a encouragé l’écoute et le respect des besoins et envies de chacun. Au fur et a mesure, chacun s’est senti plus légitime à exprimer ses envies, à trouver des compromis avec le groupe pour trouver le bon fonctionnement collectif «on est une équipe» ont répété souvent les personnes du groupe. Les temps libres ont facilité aussi les liens entre les participants.
Attention, attention!!!
Le prochain week-end aura lieu le 2 et 3 décembre, il sera urbain à la tendresse, avec un ou une chorégraphe afin de raliser une comédie musicale!
Dans le cadre de nos film Outils vidéo participatifs , nous sommes régulièrement intervenus sur les grands squats collectifs depuis 2015, proposant aux résidents lors d’ateliers audiovisuels de poser des diagnostics sur leurs lieux de vie et de témoigner sur les difficultés d’accéder au droit commun.
Maintenant que ces squats ont été démantelés, nous poursuivons ce travail sur l’habitat intercalaire qui est venu en quelque sorte remplacer les squats. Cette année 2023, comme une suite logique, nous avons proposé sur 3 autres lieux intercalaires, des ateliers, pour faire aussi un bilan de la vie dans ce type d’hébergement : la Villa Georgette, La Villa des Grèzes, Maison Boirargues.
5 nouveaux films sont venus s’ajouter au premier film Luttopia: les coulisses d’une médiation. Plus d’info ici.