Bouger sans un rond dans l’Hérault

Vélo + bus

Savez-vous qu’il est possible de mettre gratuitement son vélo dans le tram, dans les bus Hérault Transport et dans les trains régionaux aux heures creuses ?

Savez-vous qu’il existe des parkings à vélos couverts et sécurisés à Montpellier ?
Pourquoi pas à certains arrêts de bus ou sur des aires de covoiturage en milieu péri-urbain ?

Mieux connaître les pratiques d'auto partagée

Savez-vous qu’il existe plusieurs sites de covoiturage locaux où l’on peut proposer ou rechercher un covoiturage ? On paie ou on reçoit un défraiement correspondant au partage des frais d’essence et d’usure de la voiture. Exemples : Lodève-Montpellier de 1 à 3 € ; Lodève-Marseille de 12 à 15 €…

covoiturage.montpellier-agglo.fr/ (pour toute l'agglomération de Montpellier)
www.aganticovoiture.org/ (Direction Ganges)
(Gratuit, il y a seulement besoin de se connecter et de se créer un identifiant la première fois.)

Le site de blablacar (www.covoiturage.fr) est payant, et nécessite une carte bleue ; il offre cependant de nombreux trajets et horaires pour des covoiturages de moyennes à grandes distances.

D’autres sites sont gratuits : www.covoiturage-libre.fr,‎ www.carpooling.fr.

Ces sites de covoiturage permettent de rencontrer des personnes faisant régulièrement un même trajet et de s’entendre pour faire des aller-retour avec une voiture pleine (économie d’argent, économie d’usure de la voiture, moins de pollution et de fatigue…)

Savez-vous que dans certaines communes rurales un tableau d’offres et de demandes de covoiturage est affiché en mairie ou dans des cafés ?

L’article 54 de la loi de février 2005 relative au développement des territoires ruraux
« La loi de février 2005 relative au développement des territoires ruraux mentionne la possibilité dans son article 54 qu’en cas de carence de l’offre de transports, il peut être fait appel à des particuliers ou à des associations pour exécuter, au moyen de véhicules de moins de 10 places conducteur compris, des prestations de transport scolaire ou des prestations de service à la demande. Une collectivité locale peut désormais missionner des associations ou des particuliers pour assurer ce type de service. Cela constitue une première ouverture du service public de transport à de nouveaux opérateurs. Le progrès est toutefois restrictif puisqu’il ne porte que sur le transport à la demande. »
Eric Le Breton, Bouger pour s’en sortir, p 234



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